A 20h30, venez partager un moment unique avec le groupe Jeudi soir et le Cabaret Klezmer.
Quatre musiciens qui se rencontrent fortuitement chez un ami commun…S’ensuivent quelques bœufs et la naissance du groupe. Des répétitions, souvent le jeudi soir, permettent d’établir un programme de chansons françaises rétro qui sera joué pendant quelques années dans diverses manifestations.
L’arrivée du clarinettiste, du flutiste et le guitariste classique qui accepte de se mettre à la basse vont amener le groupe à découvrir la musique KLEZMER des baladins juifs d’Europe de l’Est. Avec le violon et l’accordéon, c’est tout l’univers du Nigun, de la Nora, du Freylekh et autre Bulgar qui est abordé par JEUDI SOIR
Jean-Pierre : Guitare, arrangements
Jean : Violon
Yannick : Basse
Gérard : Flute
Laurent : Clarinette
Alain : Accordéon
Le Cabaret Klezmer est une formation de 4 musiciens professionnels proposant une présentation originale de la musique juive ashkénaze par son évolution dans le temps et dans l’espace au travers de l’histoire imaginaire d’un certain Jacob Gershowitz.
Au cours d’un spectacle commenté, le public assiste au parcours de ce klezmorim, qui débute à la fin du XIXème siècle, sur les bords de la mer Noire pour s’achever dans le Broadway des années 1930.
Un mouvement qui retrace l’aventure de nombre de ces musiciens d’Europe de l’Est qui, forcés par leur destin, ont joué un rôle de passeurs entre musique traditionnelle juive et répertoire de standards américains.
La musique yiddish porte en elle un message d’espoir et d’universalité, où l’humain demeure irrésistiblement en quête de dignité, malgré les persécutions, l’intolérance, le racisme et la guerre. Un plaidoyer qui rentre en résonance avec l’actualité.
Le spectacle dure environ 80 minutes. Il est composé de pièces de musique klezmer et de standards de jazz américains, le tout entrecoupé des commentaires des quatre musiciens, qui tour à tour, évoquent la petite histoire dans la grande Histoire. Une mélodie récurrente évolue au fil du récit.
Sans parti pris idéologique, politique ou religieux, le ton se veut objectif, parfois léger ou dramatique, mais toujours humaniste, tout en évoquant la passion de la musique.